Bonjour à tous

Bienvenue à toi. Te voici sur mon blog où je compte mettre le plus souvent possible des textes, ce qui ne sera pas toujours facile vu ma connexion internet. Je ne dirai pas que ce que j'écris est du "Grand Art", ce ne sont que des textes que j'ai écrit pour des personnes auxquelles je tiens ou bien que j'ai écrit quand je me sentais mal et même sur le monde qui nous entoure, des choses qui m'énervent ou me dépriment. Je vous préviens, j'écris assez rarement des trucs joyeux, parce que souvent quand tout va bien, on a rien à dire. Il se peut qu'il y ait des choses joyeuses quand je parle des gens qui comptent à mes yeux ou quand on me demande quelque chose de plus joyeux, mais je ne promets rien. Je mettrai surement un texte d'intro entre chaque texte (vous avez compris) peut-être pour expliquer pourquoi j'ai écrit sur ce sujet ou juste pour faire une sorte de barrière entre les deux, a vrai dire, je n'en sais rien. C'est mon premier blog, donc première fois que je mets autant devant tout le monde qui lira ce que j'écris. Voilà pour cette mini intro. Je vous souhaite une bonne lecture et un bon voyage à travers mes yeux (si je puis dire).

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J'ai décidé de mettre en place un règlement pour le respect des autres et afin que tout se passe bien sur le blog. Il ne sera pas bien long mais veuillez le lire. Merci d'avance!

Article 1: Je pense avoir le droit au respect, comme tout le monde, je suis un être humain avec des sentiments. je ne pense pas que vous aimeriez que l'on critique méchamment ce que vous écrivez ou ce que vous pensez. Donc pas d'insultes.

Article 2: Nous savons tous écrire donc si vous rédigez un commentaire, merci d'éviter au maximum les fautes d'orthographe. D'accord il nous arrive à tous d'en faire,moi la première, mais il faut quand même savoir faire la différence entre les "c'est" et les "ses", les "mais" et les "mes". SI jamais vous voyez des fautes, vous pouvez m'en informer.

Article 3: Je vous ai prévenu que ce que j'écris ne sera pas forcément joyeux donc évitez de me dire de mettre quelque chose de joyeux ou si je ne sais pas faire autre chose que quelque chose de triste. On va dire que la tristesse est ma marque de fabrique.

Pour le premier texte que je vais poster, il sera assez court. Je l'ai écrit pour un concours. On avait une lettre, un mot et une phrase, les voici: "A comme Artiste. Le rideau s’ouvre et je suis moi." Il n'est pas vraiment triste, pour une fois ^^. Bonne lecture  ! 

C’est le moment où jamais… Après avoir tellement menti dans le passé, m’être donné un genre pensant être acceptée ainsi. Je me suis inventée une vie croyant que tout me serait permis. J’ai préféré cacher celle que je ne voulais pas être. Et pourtant me voilà aujourd’hui. Prête à me dévoiler au grand jour. Me servant de mes erreurs, de mes épreuves pour les faire vibrer, leur faire ressentir ma joie, ma peine, mes peurs. Je ne peux plus reculer. Les rideaux s’effacent pour laisser apparaitre des millions de personnes. Toujours dans le noir, je les entends crier mon prénom. Les projecteurs s’allument et pointent vers moi, me sortant de la noirceur dans laquelle je mettais enfermée. Pour la première fois, je peux sourire, et laisser couler des larmes…de joie.  Je me lance, oubliant tout, laissant parler mon cœur et mon âme. Je n’ai plus peur, je sais qu’ils sont là, à mes côtés. Je me laisse aller au son de la musique.  Je montre enfin celle que je suis.

Durant mes 15 années, j'ai croisé pas mal de personnes et je sais que ce n'est pas fini. Du haut de mes 15 ans, j'ai vécu des déceptions comme tout le monde, mais j'ai décidé de ne garder que les meilleures choses. Les personnes exceptionnelles qui sont entrées dans ma vie et n'en sont pas ressorties. Et j'espère n'en sortiront jamais. Mais ne jamais dire jamais n'est-ce pas? Mais pour moi, elles sont devenues ma famille, mes frères, mes soeurs, mes meilleur(e)s ami(e)s. Ce sont ces personnes a qui je dois tous mes sourires. Si je peux sourire à travers mes larmes, c'est parce qu'elles sont à mes côtés. Je sais qu'elles me comprendront toujours malgré ma façon bizarre de voir les choses. Je me suis attachée à elles, j'ai du mal à leur dire au revoir quand il est l'heure de partir, j'ai du mal à me retenir de leur parler tous les jours. Si je pouvais, je ferais en sorte qu'on reste toujours ensemble. La distance est un obstacle, mais notre amitié reste intacte. Tous ceux que je veux c'est les remercier d'être là dans les bons comme les mauvais moments. De toujours me soutenir et surtout de m'aider à me retrouver quand je suis "perdue". Elles veulent me protéger de ce qui pourrait tellement me blesser et je fais de même de mon côté. Elles m'aident à avancer alors que je voudrais tout stopper. Combien de fois elles m'ont empêchées de faire des bêtises? A vrai dire, j'ai arrêté de compter. Il n'y aura jamais assez de mots pour dire combien elles comptent à mes yeux. Je les aime avec leurs qualités comme leurs défauts, juste parce qu'elles sont comme elles sont. Pour rien au monde je ne voudrais les changer. ♥

C'est le premier texte que je vais vous montrer que j'ai écrit pour un de mes amis. C'est un gars plus agé que moi (d'un an ^^) Nous habitons très loin l'un de l'autre. Pour être exacte, je vis en France et lui, à la Réunion. On s'est parlé sur Facebook, et depuis il compte beaucoup à mes yeux. Il est du genre à se dévaloriser (et il me reproche de le faire :p), mais il a un grand coeur. Il est toujours là pour moi, c'est l'un de mes meilleurs amis!!

En quelques années, de toutes les personnes que j'ai rencontré, il y en a une qui m'a vraiment marqué. Elle est rentrée dans ma vie, un jour comme les autres. Au début, on ne s'est pas vraiment adressé la parole. Et un jour, je lui ai proposé de venir avec mes amies et moi. On s'est vraiment rapprochées. Je ne regrette rien. On s'est disputées de temps en temps, mais quoi de plus normal pour solidier une amitié? On se comprend si facilement, c'en est presque déroutant. Mais elle est devenue mon amie, puis ma meilleure amie et enfin, une soeur, une confidente. Elle sait mieux que ma famille me redonner le sourire, me faire rire, savoir quand je suis triste ou sur le point de craquer, elle voit souvent mon mal-être alors que j'essaie tant bien que mal de le cacher. Même à travers un sms, elle arrive à voir si je vais bien ou si je vais mal. C'est incroyable de pouvoir être aussi proche d'une personne. Même si une putain de distance nous sépare, même si on se voit beaucoup moins qu'avant vu que nous nous sommes séparées vers différents lycées, même si nous ne pouvons nous voir aussi souvent qu'avant, même si on ne sera surement jamais dans le même établissement à nouveau, j'ai fait la promesse d'être toujours là pour elle. Peu importe où nous serons, dans un autre département, une autre région, un autre continent, je serais toujours avec elle et elle toujours avec moi dans mon coeur. Notre amitié est éternelle. FRIENDS FOREVER ET FOREVER TOGETHER!

Aujourd'hui n'est qu'un autre jour d'amitié avec toi

Une fille géniale au grand coeur et les mots qui font sourire

Dans mon coeur tu as une place importante

Rien ne me fera t'oublier, c'est une promesse

Encore aujourd'hui, malgré la distance, je pense à toi

Y a rien qui ne pourra changer àa

Fabuleuse, tu es et tu restera

On peut garder tout nos souvenirs, moi, je garde nos délires

Un jour, nous avons été séparées physiquement, mais jamais mentalement

Rappelles-toi que je serais toujours là pour toi, comme tu l'es pour moi

N'oublie pas que personne ne peut te remplacer dans mon coeur

Et peu importe ce que les gens disent, tu es et restera ma meilleure

Rien ne changera, tu es ma soeur, ma grand-mère, ma confidente

Ensemble pour toujours, c'est ce qu'on s'est dit.

Tous les mots du monde ne suffiront pas pour dire combien je t'aime ♥

Je crois qu'on ne remercie jamais assez les gens qui nous soutiennent, qui sont toujours là à nos côtés, tous les jours. Ceux qui nous redonnent le sourire en un clin d'oeil, ceux qui nous font rire à en pleurer! Alors moi, j'en remercie un en particulier!♥

On a tous des amis qu'on considère comme sa famille. Des garçons qui deviennent des frères, des filles qui deviennent des soeurs. En fait, l'amitié devient un peu comme une seconde famille. Une famille différente de la vraie, avec qui on peut échanger sur d'autres choses. Personnellement, j'ai beaucoup de "frères et soeurs" et j'en rajoute souvent dans mon coeur. Si aujourd'hui, je souris, c'est grâce à eux. Même avec la distance, on reste proche. C'est là qu'entre en scène, mon "frère" de coeur:

Tu vois, je t'ai promis que j'écrirai un truc sur toi, sur nous deux. Même si je ne veux pas voir de larmes dans tes yeux, je sais que tu vas pleurer de joie. Petit frère trop sensible. Déjà 2 ans que l'on se parle, 2 ans où j'ai réussi à sourire. Merci pour tout ce que tu as fait, de m'avoir soutenue quand tout semblait aller au plus mal. Pas toujours facile de se parler, l'un aussi timide que l'autre. ET pourtant, on a réussi! Dire qu'avant on s'ignorait et maintenant, nous sommes très proches. Tu es comme un frère, mon frère de coeur. Le pas doué qui me fait bien marrer, celui qui a une mémoire de poisson rouge, celui qui dit des bêtises pour un oui et pour un non. Je n'oublie rien. Ton côté tout gentil comme ton côté mini rebelle. Ton côté super protecteur comme ton côté "Je ne comprends rien". Et j'en rigole. Tu connais le mensonge que je dis si souvent, le "Oui, je vais bien" que je dis tout le temps. Cette phrase que je dis car je ne veux pas que l'on s'inquiète, tu as compris qu'il ne fallait pas me poser de questions, que dans ma tête des fois c'était le grand bazard, autant être honnête. Mais la distance est un obstacle assez dur. On se parle moins, ce n'est pas pour autant que je t'apprécie moins. J'ai juste l'impression que l'on s'éloigne, et c'est dur? Mais on se doutait bien que ça arriverait. Dur de conserver une amitié quand des kilomètres nous séparent chaque semaine. Mais ne t'inquiètes pas, tu restes quand même dans mon coeur, mon grand frère, je t'adore ♥

Je pense qu'on a tous vécu ça. Cette impression de connaitre les gens qui nous entourent. De les voir comme des personnes gentilles, a qui ont peut se confier et qui nous aideront à chaque fois. Et se rendre compte qu'ils ne jouaient qu'un jeu, qu'ils nétaient pas vraiment ce qu'ils vous faisaient croire. Ils nous blessent bien plus parce qu'ils nous connaissent, ils savent où frapper pour faire mal. Et on tombe de haut. Dur de se relever quand on a été blessé. Dur de tourner la page et même de l'arracher, car elle reste ancrer et te revient toujours en tête. PLus tu essaies de l'oublier, plus elle revient pour t'enfoncer. Comment refaire redonner sa confiance quand on a peur d'être brisé à  nouveau? Au fond, tu auras beau joué un rôle, tôt ou tard, ton masque tombera...

Je croyais qu'on était amis, que se serait ainsi pour une bonne partie de notre vie. Tu disais vouloir mon bonheur, ne pas vouloir me blesser, me voir sourire, tu disais tenir à moi. Et moi, j'y croyais, j'étais trop naïve pour ne pas voir tes mensonges. C'est à toi que je racontais tout. Les moments où je me sentais si mal, les choses qui m'arrivaient et qui me blessaient tellement que je ne voulais plus me relever et avancer, que je voulais tout stopper. Et pourtant, tu me soutenais, tu me disais de continuer et que tout irait bien. J'y croyais tellement en tes paroles, surtout parce que tu étais là. Je pensais vraiment que tu me protègerais comme tu disais vouloir le faire. Ton soutien, tes encouragements me faisaient garder la tête froide et m'empêcher de penser à ce qui pourrait arriver. Je pensais que tout irait bien, qu'il n'y aurait plus de problèmes. Hélas, cela ne faisait que commencer. Tu t'es mis à m'insulter. Pourquoi? Je n'ai jamais compris. Devant moi, tu disais que j'étais ta meilleure amie, et derrière tu m'insultais sans que je ne t'ai rien fait. Pourquoi n'aie-je rien vu venir? Pourquo as-tu fait ça? Etait-ce pour te sentir mieux! Ou juste pour me rabaisser un peu plus? Je n'ai pas compris. Toi qui disais nejamais me blesser, tu m'as brisée interieurement. Peut-être que tu ne tapes pas les filles, mais tu les detruits mentalement et psychologiquement? Les mots sont parfois plus durs que les gestes. Tu savais trop bien que j'irais mal, et que je n'aurais personne pour me rattraper dans ma chute. Ca t'a bien amusé, tu t'es senti mieux? Il fallait que les autres souffrent pour que tu te sentes plus fort, au dessus de tous. Tu as préféré détruire moralement des gens pour te sentir mieux. Tu sais, on dit qu'avec le temps, les blessures s'effacent, on dit aussi qu'elles ne s'effacent pas mais qu'on apprend à vivre, avec. Personnellement, je n'oublierai jamais la douleur que j'ai ressens, ce vide qui s'est creusé. Quand bien même tu te serais excusé, rien n'aurait changé. Tu as détruis cette partie qui croyait aux paroles des gens, cette partie qui faisait confiance si facilement. Tu m'as uand même ouvert les yeux, prouver que les gens ne sont pas tous bons et sincères, que certains te creeront toujours de la misère. Maisje t'en veux et je n'oublie pas, car le mal est toujours là...

Je ne sais que trop bien que si je pouvais, je remonterai le temps. Juste pour éviter que ceux que j'aime souffrent ou ne partent loin de moi. J'effecerai tous les moments qui m'ont tant fait pleurer. J'enleverai les gens qui m'ont blessée au point de m'enfoncer, je ferai attention à cesgens partis trop tôt, dirai "Je t'aime" à ma famille et mes proches. Je n'hésiterai plus sur ce que je dois faire. Malgré mes esoirs pour tout recommencer, je ne sais que trop bien qu'il est impossible de changer ce qui est arrivé. le mal qui nous est fait ne peut s'oublier comme il ne peut s'effacer. On apprend à vivre avec peu à peu, on s'habitue à ce vide au fond de soi. Et même si on est entouré de gens, ceux-ci ne peuvent pas comprendre ce que l'on vit, si eyx-même ne l'ont pas vécu. ET malgré leur présence, on se sent seul et isolé. Rien ne peut changer les conséquences des actes passés.

Nous connaissons tous une personne voir des personnes qui se disent faibles. Et bien qu'on leur dise le contraire, qu'on leur dise qu'elles sont fortes, elles n'en croient pas un mot et continuent de se qualifier de faibles. Je fais moi-même parti de ces personnes. C'est plus facile de se dévaloriser comme me disent certains amis, mais certains ont tendance à descendre bien bas. Tandis qu'il y a ceux qui se surestiment largement. Rares sont les personnes à se voir à leur juste valeur. Ce que je veux prouver, c'est que nous sommes tous forts! Parce que voilà, ce que c'est être FORT!

Forte, ça ne veut pas dire que tu ne pleures jamais. Forte, ça ne veut pas dire que tu n'as jamais mal, que tu n'as jamais froid. Forte ça ne veut pas dire tout ça. Forte, c'est quand tu te relèves, à chaque fois. Même quand on t'a enfoncé le visage dans la boue, et qu'on t'a ri au nez. Forte, c'est quand tu glisses, tu t'accroches à n'importe quoi, à n'importe qui, pas pour remonter, pas forcément, mais pour ralentir la chute. Forte ça ne veut pas dire que tu n'as pas envie de mourir. Forte, ça veut dire que tu continues à vivre, avec l'envie de mourir et que tu espères qu'un jour, l'envie s'en ira. Forte ça veut dire être fragile, avoir des faiblesses. Forte ça veut dire essayer de faire avec. Forte ça veut dire avoir les larmes qui coulent, et les essuyer d'un revers de la main rageur. Forte ça veut dire être un peu enfant, encore, et avoir besoin de promesses et de secrets. Forte ça veut dire hurler quand il le faut, et se taire, quand on l'a trop fait. Forte, ça veut dire accepter de mourir un peu chaque jour, sous les cris, sous l'hypocrisie, sous la bassesse, juste pour continuer à vivre. Forte ça ne veut pas dire invincible. Ca veut dire humaine. Juste ça.

Ce texte n'est pas de moi, mais il est magnifique. C'est une amie qui l'a écrit après avoir lu plusieurs textes. Je pense que l'inspiration vient quand les textes nous parlent.

Ne m’en veut pas. Ne m’en veut pas pour cette nuit-là, où je suis partie comme ça. Je ne pensais pas que ça allait finir comme ça, je ne me voyais pas dormir dans ses bras pendant que tu te faisais du souci pour moi … J’ai brisé notre relation de confiance et nous ai entrainé dans la plus grande déchéance. Je n’ai jamais pensé que c’était de cette manière que ça allait se terminer, et si j’avais du, j’aurais tout fais pour éviter ce profond déconvenue. Je t’en pris maman, faisons comme avant, une relation mère-fille…si tu savais comment ils me manquent tes câlins senteurs vanille.
Pardon maman…
Ca y est, j’ai quinze ans, plein adolescence, mais si peu de confiance…
Tant de questions sans réponses, souvent l’impression d’aller dans les ronces. J’essaie de garder le sourire et de bien aller, mais au fond de moi, je veux courir et hurler.
Tant de lourdes chaines qui sont nos peines que si peur de personnes comprennent.
Une besoin fous de s’évader, même si je n’ai nulle part où aller.
Pleine adolescence, fausse insouciance et manque d’assurance.
Tant de questions sans réponses, souvent l’impression d’être dans les ronces…

A finir!

De Claire

On a tous déjà pensé que tout resterait exactement comme le moment présent. Le bonheur, rien de mal n'arriverait, tout le monde pourrait sourire sans se soucier du reste. Que la vie serait pour une fois facile et agréable. Comme quoi, le bonheur n'est pas éternel, il n'est là que parce que le malheur existe, il est là pour nous donner un temps de répit.

Te souviens-tu quand tu disais que tout irait bien ? Qu’il ne m’arriverait plus rien ? Te souviens-tu de ces phrases que tu disais chaque soir ? Celles que tu répétais pour que je n’ai plus peur du noir ? Te souviens-tu des mots tendres, des simples gestes qui ne montraient que de la tendresse ? Te souviens*tu des toutes nos blagues envers nos cousines avant que tu ne me lâches pour être avec ta copine ? Te souviens-tu seulement de moi, de mon existence, de nos rêves d’autrefois ? Je n’ai pas vraiment besoin d’entendre ta réponse pour la connaitre. Tout ton être est en train de disparaitre. Où est ton côté doux et marrant ? Pourquoi es-tu devenu à ce point méchant ? Où est passé l’espoir qui brillait dans tes yeux et la joie qui les faisait briller de mille feux ? Où est ta personnalité, celle qui te faisait exister ? Comment en es-tu arrivé là ? Comment as-tu pu tomber si bas ? Tu étais un modèle, ma référence, mais tu as sombré dans l’inconscience. Ta vie se résume à frapper et à boire, tu te laisses aller au désespoir. Tu te laisses contrôler par tous tes déboires, c’est comme si tu ne pouvais plus voir. Tu as oublié comment exister, et tu continues de sombrer. Ta vie a tellement changé que tu ne sais plus qui tu es. Je pensais pouvoir arranger les choses mais je suis tombée sur une porte close. La douleur est insupportable et ton absence insurmontable. Pourquoi es-tu parti de cette façon ? Sans un mot, sans une lettre, sans une indication. Personne ne sait si tu vis encore, ni où tu es en ce moment. Grand frère, tu me manques à chaque instant.

Combien de personnes ont, un jour, souri alors qu'elles n'avaient qu'une envie c'était pleurer? Combien de personnes ont déjà souri alors que leur rêves s'effondraient, que le désespoir les guidait, que la douleur les emprisonnait, que leurs yeux se noyaient, que tout leur être déprimait? Et combien on déjà remarqué ces sentiments que l'on essaie de cacher, juste pour ne pas blesser, juste pour oublier? Ne crois pas un sourire, ne crois pas des mots, regarde les gestes et interprete.

Tu le vois ce garçon ? Oui, ce garçon qui sourit sans raison. Tu le trouves heureux, tu crois qu’il l’a toujours été ? Tu veux savoir la vérité, c’est qu’il l’est depuis peu. Ne le juge pas, tu ne connais pas son histoire, ne le rejette pas, il a assez vécu dans le désespoir. Ca a commencé il y a longtemps, quand il était très souriant. Sa vie semblait parfaite à jamais, mais tout cela a changé. On lui disait que l’amour faisait sourire, lui, ça l’a fait souffrir. Un triangle amoureux lui a assombri son sourire et l’a empêché de rire. Pendant trois ans il a continué d’espérer en secret. Il regardait cette fille discrètement pendant qu’une autre avec lui en faisait autant. Il a espéré à en être désespéré, espérant être remarqué. Il a finalement compris que ça ne se passerait pas ainsi. Il a plongé sa vie dans un désespoir infini, la souffrance pour seule compagnie et son cœur brisé, replié sur lui. Des années se sont passées, il avait réussi à oublier après son départ anticipé dans un lieu où il pourrait tout recommencer. Trop d’espoir tue l’espoir et on finit dans le noir. L’amour lui est retombé dessus, l’emprisonnant sans aucune issue. Il a osé lui demander mais celle-ci a refusé. Pendant deux ans il a souffert, alors que tout allait de travers. Pendant deux ans il a du supporter cet amour non partagé. Pendant deux ans il a encaissé les coups de ses soi-disant «amis» , les vols qui ont été commis sur le travail qu’il faisait. Tu vois, tu vois combien sa vie a été difficile, tu vois combien il a souffert, tu vois comme sa vie est partie de travers, et pourtant on dirait qu’elle a toujours été facile. Tu sais, il a fini dans le noir, il a sombré dans son désespoir, il aurait préféré oublier, oublier le fait qu’il ait été blessé. On dit que le temps efface les blessures, qu’avec le temps rien ne dure, mais quand tu es déçu par la vie, dur d’oublier, d’avancer, d’avoir des amis. Et tu vois, malgré tout ça, dans le noir complet une lumière s’est mise à briller. Il s’est remis à avancer, rencontra des personnes qui l’ont aidé. Mal malgré cela, il n’est pas resté dans cette lumière qui le faisait se sentir rejeté. Il y est resté longtemps faisant toujours semblant. Mais tu vois, il est sorti, il a continué sa vie, plus fort que jamais, il a appris à ne plus désespérer. De retour en plein jour, il peut recommencer à croire en ce qui fera son histoire.

Nous avons tous un jour regretté des  gestes, des paroles, tout et n'importe quoi. On aurait voulu que ça se passe autrement mais ça n'a pas été le cas. Et il ne reste que des regrets.

Dix ans que la tristesse te ronge, que peu à peu tu plonges. Que ton sourire s’est tari, emporté par la pluie. Déjà deux ans que tu te prépares pour un sérieux départ. Tu veux prendre le large sans laisser de message, tu veux t’isoler du monde dont la haine se propage comme une onde. A cause de tout ça, tu t’es trompé et tu as fini par tuer, ce n’est pas ce que tu voulais, maintenant ton âme est assaillie de regrets. Tu es devenu une coquille vide, qui peu à peu prend des rides, pourtant, tu n’as pas l’âge, mais tu es prêt pour un dernier voyage. Tu as laissé ta colère t’emporter d’un tout nouveau côté. Marre de souffrir, tu as préféré partir pour ne plus jamais avoir à dire que tu arrives à guérir. Malgré tous tes mensonges, tu t’enfermes dans des songes. Tu as du mal à respirer tellement tu te sens oppresser. Ton cœur va lâcher, tu vas tout abandonner. Ta vie te fait défaut, tout ce en quoi tu croyais tombe à l’eau. Ta vie n’est plus que frayeur depuis que tu as sombré dans l’erreur. La mort t’attire dans ses bras et tu ne la rejettes as. Ton âme crie au secours, tandis que ton cœur pèse lourd. Les regrets sont encore là, pensant un peu plus à chaque pas. Tes larmes ont cessé pour ne plus jamais couler. Il est tard, il est l’heure, dis adieu à tes sœurs Dis adieu à celles dont tu as tués les parents, également les tiens étant enfant. C’est sur un dernier soleil doré que ton corps est tombé.

 http://www.youtube.com/watch?v=eJ2rY2sVXAA

Tu es triste, ça se voit dans tes yeux. Tu fais semblant d'aller toujours mieux. Vous vous aimiez, tout le monde le savait. Mais vous vous éloignez, comme si votre monde s'écroulait.

Tu étais sur ton nuage, mais est apparu l'orage, ton paradis s'est changé pour devenir obscurité, tu cherches à arranger, tout ce que tu vois s'écrouler. Mais rien n'est parfait, tu veux tout laisser tomber

Son regard te dit je t'aime, mais pour toi, c'est du pareil au même, tu ne sais plus où tu en es, tu as l'impression de tomber. Ton sourire s'est tari pour ne pas dire qu'il s'est enfui.

Parfois, tu ne veux plus te battre avec ça, parfois, le courage, tu ne l'as pas. Et derrière tes larmes ce sentiment revient, Et pourtant tu tiens.

Tu as peur du futur, tu cherches à éviter le mur. Tu repenses au passé, en cherchant à te faire avancer. Tes rêves se sont envolés mais tu cherches à  les réalisés. Tu ne veux plus avoir peur, plus question de faire des erreurs.

Tu ne veux pas souffrir, tu veux pourtant pas partir, tu veux pas abandonner, tu ne veux pas tout lacher. Tu ne veux plus avoir de raisons pour t'inquièter, tu veux juste pouvoir sourire sans te faire prier.

Tu veux lui dire au revoir, car tu ne veux pas sombrer dans le désespoir, tu veux juste ne pas avoir à pleurer par amour, et pourtant tu cherches du secours.

Malgré ses nombreux appels, tu es perdue, mais tu ne veux pas t'avouer vaincue. Tu écoutes ce que tu disent tes amis, mais ton coeur a déjà choisi.

Listen to your heart/Ecoute ton coeur ♥