• On a tous deja vecu ca, ce sentiment d'etre proche d'une personne, de croire qu'on se comprend en un regard, on tous deja eu ce sentiment, celui qu'on partage a deux, pas ce sentiment d'amour, mais d'amitie. Une amitie sans limites, impossible a briser, impossible a oublier. On a tous deja eu ce sentiment qui nous pousse a aller de l'avant, pas seulement pour nous-meme mais pour les autres, car on sait que si on craque, c'est tout ceux qui nous aimenr qui prennent sur eux. Moi aussi, j'ai connu ce sentiment et j'y croyais, mais ca fait mal de voir que ce lien s'est brise, ca fait mal de voir qu'au fond ce n'etait qu'une illusion. Bien sur, avec certaines personnes, je suis sure qu'il existe. Si j'ai ecrit le texte qui va suivre, c'est juste que j'avais besoin de mettre sur "papier" ma tristesse, ma deception, mes ressentiments avant de craquer, de m'en prendre a ceux qui ne le meritent pas...

     

     

    Regarde-nous, regarde ce que nous sommes devenus. Regarde notre amitie, t'ai-je vraiment connu? Regarde-moi, dis-moi qui je suis si seulement tu le sais encore. On se disait proche, tel un frere et une soeur, on se parlait de tout, de nos joies de nos peines de nos peurs. On se disait inseparables peu importe la distance, on disait que rien ne se glisserait entre nous. Tu disais qu'il ne fallait pas que je m'inquiete, que tu serais toujours la, qu'on continuerai a parler. Sans jamais s'arreter meme si c'est pour ne rien dire. Souviens-toi, tu me repetais que mes frayeurs n'avaient pas lieu d'etre car tu me soutiendrais toujours. Tu me repetais que j'etais comme ta soeur, que tu m'adorais, que je te connaissais par coeur tout comme tu me connaissais comme si on s'etait toujours connus. Merde pourquoi avoir jouer avec les mots? Pourquoi avoir dit tout cela si tu n'en pensais pas un mot? J'aurais prefere que tu te taises plutot que de vivre avec le poids de tes mensonges sur le coeur, j'aurais prefere qu'on me cache la verite plutot que de comprendre que ca ne serait plus jamais comme avant. Je croyais vraiment te connaitre, mais j'ai dechante. Je ne pensais pas que tu etais le genre de gars a t'inventer une vie en te servant des autres, je ne pensais pas que tu etais le genre de meilleur ami a ne pas repondre aux sms, je ne pensais pas que tu etais celui qui preferait se taire plutot que de s'expliauer, je ne pensais vraiment pas que tu etais si lache. Mais j'ai compris, t'es juste le gars qui s'invente une personnalite, celui qui fait semblant d'etre celui qu'on veut qu'il soit avant de redevenir lui-meme. Ca fait tellement mal de savoir que tout ce que tu as dis n'etait que des mensonges destines a me tromper. Je me dis que j'ai ete vraiment naive. Tu as profite du fait que j'etais blessee par un gars pour rentrer dans ma vie avec toutes tes tromperies. Tu sais, j'ai ete blesse au debut, j'ai ete triste, mais je me suis rendue compte que ton absence ne m'affectait plus autant qu'au debut et je sais que plus les jours passent, moins elle me blesse. Car moi, je n'ai qu'un regret c'est celui de t'avoir cru. Mais tu vois, j'ai le soutien de mes vrais amis, ceux qui je sais ne me laisseront pas et je me rends compte qu'ils te depassent largement. Et d'un autre cote, merci de m'avoir montrer qui tu etais vraiment et surtout qu'il y aura toujours des personnes pour te mentir et te blesser


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  • Je me souviens de la première fois que je t'ai vu, toi, le mec solitaire, qui semblait n'avoir aucun sentiments, qui semblait si arrogant...

    Je me souviens de la première fois ou je t'ai parlé, c'tait juste parce que je mettais égarée et tu m'as finalement raccompagnée. 

    Je me souviens de la première fois où nous avons vraiment parlé, un soir sur un banc, alors qu'il pleuvait à torrent, nous nous sommes assis, nous nous sommes racontés notre vie, nous avons appris à nous connaître, et un sentiment a fini par naître.

    Je me souviens de la première fois ou nous sommes arrivés ensemble en cours, les regards sur nous, toi le solitaire, moi la rebelle, une amitié presque ireelle pour tous ces gens emprisonnés dans une routine impossible à briser.

    Je me souviens de tout, de notre premier baiser jusqu'au dernier, de ton premier mot doux jusqu'à ton rire, ton sourire éblouissant et tes yeux azur, ta main dans la mienne ou tes bras autour de moi.

    Tu étais mon guide, mon étoile, tu étais le soleil qui éclairait mes journées, ma lumière dans l'obscurité. Tu étais mon ange tombé du ciel, la réponse à mes prières.

    Tu étais le seul et l'unique être à faire battre mon coeur, le seul à réussir à apaiser mes peurs, le seul à comprendre que j'étais perdue sur le chemin, le seul à m'avoir vraiment tendue la main.

    Tu as su percer les barrières que je m'étais forgée, tu as su me ramener du bon côté, tu as su me réconforter de ce monde qui m'oppressait, tu as su trouver les mots pour m'empêcher de ressombrer.

    Mais le destin est cruel, la vie trop dure envers nous. Maintenant, je me retrouve de nouveau à genoux. Tu n'es plus a mes côtés comme je l'espérais. Tu as disparu de ma réalité.

    Mon coeur souffre depuis ta mort, tu m'as laissée et je ne retrouve plus le nord. J'ai besoin de ta présence, aujourd'hui plus qu'hier, mais tu n'es plus là et repose au cimetière.

    Mon ange, tu as rejoint le ciel, où tu brilles comme éternel. Mais sans toi a mes côtés sur la terre, je ne sais plus ce que je fais et j'erre. 

    Mon âme te crie de me revenir, mais ce cri de détresse ne peut retentir. La douleur m'envahit peu à peu, c'est trop dur pour moi, cet être si faible et malheureux.

    Je ne vois plus rien et sombre un peu plus chaque matin. Le soleil me brûle les yeux et la lune aperçoit ma peine, je n'ai plus la force de ressentir quoi que se soit même pas de la haine.

    Avec toi est partie ma joie, mon bonheur et tout ce qui me faisait exister. Avec toi est partie la partie de moi qui savait aimer.

     


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  • Quand les gens partent, il ne reste plus que des mots

    Des mots qui marquent, des mots qu'on veut oublier

    Des mots qui restent même quand tout est tombé à l'eau

    Des mots qui restent gravés et ce à jamais

    Dans la pire des souffrances,

    Il ne reste plus que l'indifférence

    On fait comme si tout allait bien

    Comme si on ne ressentait rien

    C'est les larmes aux yeux que nous avançons

    Larmes qu'avec un sourire nous cachons

    Seul, on repense au passé

    A ces tristes existences délaissées

    A ces personnes qui ont bousillé nos vies

    A celles qui ont détruit jusqu'à notre esprit

    Brisés jusqu'à la moindre parcelle de notre être

    Jusqu'à ce qu'on ne puisse jamais s'en remettre

    Il ne reste plus rien que des souvenirs

    Qui nous font souffrir le martyre....


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  • Tu as été la pour soigner certains de mes maux 
    Mais au moment où j'avais le plus besoin de toi
    Tu es parti d'un seul coup avec pour seul mot
    C'est fini, il n'y a plus de nous juste un toi et un moi

    Avec toi, j'avais eu envie de recommencer a croire
    Désormais, autour de moi ne subsiste que le noir
    Il me semble que maintenant ma vie s'entoure de mensonges
    Ces mensonges qui, jour après jour, peu a peu me rongent

    C'est derrière ces sourires que se cache ma peine
    Et même si, a présent je ne ressens plus la haine
    Il est impossible que tu reviennes dans ma vie
    Tu n'as pas su être là quand je pleurais alors ne viens pas quand je souris

    Je ne suis pas devenue plus forte après ton départ
    Je me suis habituée a cette douleur qui ronge mon âme
    Je ne montrerai plus rien, c'est mon oreiller qui maintenant recueille mes larmes
    C'est dans ma chambre que me gagne le cafard


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  •  

    C’était une histoire absolument sans importance
    C’était une âme sans la moindre existence
    C’était un cauchemar sans précédent
    C’était un souvenir qui reste pour longtemps
    C’était une vie sans intérêt
    C’était une ombre sans attrait
    C’était un appel à l’aide, un SOS
    C’était un regard de detresse
    C’était un moment à oublier
    C’était un rêve à déprimer
    C’était un mot qui revient
    C’était des pleurs sans fin
    C’était le rappel d’une peine
    C’était des actes de haine
    C’était un tableau noir sans foi
    C’était l’eau dans laquelle on se noie
    C’était un minimum d’espoir
    C’était une façon d’avancer sans voir
    C’était un silence plein de sens
    C’était des larmes sans arrêt
    C’était une vie complètement gachée
    C’était l’histoire d’une absence
    C’était un coeur brisé
    C’était une âme déchirée
    C’était un semblant de bonheur
    C’était beaucoup plus de douleur
    C’était une simple erreur
    C’était une joie d’une heure
    C’était une sombre histoire de larmes
    C’était une blessure sans arme
    C’était sa vie…


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  • Te souviens-tu quand tu disais que tout irait bien? Qu’il ne m’arriverait plus rien, te souviens-tu de ces phrases que tu disais chaque soir? Celles que tu répétais pour que je n’ai plus peur du noir? Te souviens-tu des mots tendres, des simples gestes qui ne montraient que de la tendresse? Te souviens-tu de tout cela ou ne sont-ce que des souvenirs bien lointains, des bouts de passé qui ne signifient plus rien? Te souviens-tu de ses rêves de gloire, quand tu disais que tu remporterais la victoire? Te souviens-tu de toutes nos blagues envers nos cousines, avant que tu ne me lâches pour être avec ta copine? Te souviens-tu seulement de moi, de mon existence, de nos rêves d’autrefois. Je n’ai pas vraiment besoin d’entendre ta réponse pour la connaître.  Tout ton être est en train de disparaître. Où est ton côté doux et marrant?  Pourquoi es-tu devenu à ce point méchant? Où est passé l’espoir qui brillait dans tes yeux et la joie qui les faisait briller de mille feux? Où est ta personnalité, celle qui te faisait exister? Comment en es-tu arrivé là? Comment as-tu pu tomber si bas? Tu étais un modèle, ma référence, mais tu as sombré dans l’inconscience. Ta vie se résume à frapper et boire. Tu te laisses aller au désespoir. Tu te laisses contrôler par tous tes déboires, c’est comme si tu ne pouvais plus voir. Tu as oublié comment exister et tu continues de sombrer. Ta vie a tellement changé que tu ne sais plus qui tu es. Je pensais pouvoir arranger les choses, mais je suis tombée sur une porte close. La douleur est insupportable et ton absence insurmontable. Pourquoi es-tu parti de cette façon? Sans un mot, sans une lettre, sans une indication. Personne ne sait si tu vis encore et où tu es en ce moment. Grand frère, tu me manques chaque instant.


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